SAMEDI 30 SEPTEMBRE 2017 : DROIT DES PARENTS "DROITS DANS LEURS BOTTES".
Et "pan" dans la Gueule....
Merci, Maxime VALETTE !!!
Nos anciens "PROFS" de Droit, d'Histoire du DROIT, notamment le célébrissime Léon MÉNAGER épouvantaient les jeunes pas encore majeurs (Moins de 21 ans !) en évoquant le Droit de Vie ou de Mort que le "PATER FAMILIAS" avait sur sa progéniture !
Déjà, en 2002, il existe d'excellents articles, dont celui de Michèle DOKHAN :
"LES AVATARS DE LA PUISSANCE PATERNELLE".
LE PARTI DANS RIRE n'est pas en reste, pour avoir "Publié" le SAMEDI 1er NOVEMBRE 2014 JURIDIQUE : "FESSÉE ET CORRECTION.", avec un ARTICLE PARU DANS LE JOURNAL "LE FIGARO" sous la plume de Stéphane KOVACS le 15/10/2014, Rubrique ACTIVITÉ SOCIÉTÉ).
Les choses ont encore évolué, et ce n'est pas fini, puisque, nous apprend le très sérieux journal LE FIGARO dans son édition du 25 septembre dernier, IE nous suivons l'actualité... :
"Une mère de famille de 32 ans a été relaxée après avoir été convoquée devant le tribunal de Perpignan pour avoir giflé l’un de ses fils de 2 ans et demi le 25 juin dernier, rapporte France Bleu. Au juge du tribunal correctionnel, elle explique que son fils était hospitalisé pour une gastro-entérite carabinée. Selon ses dires, elle n’a pas dormi pendant 48 heures et d’un coup, la gifle est partie.
"Je fais ce que je veux, c’est mon enfant"
Une infirmière donne l’alerte et parle d’un coup violent. En voyant quatre infirmières entrer dans sa chambre, la mère tente de se justifier : « Vous voyez bien que je ne l’ai pas tué ! Je fais ce que je veux, c’est mon enfant ».
Des policiers de la BAC la placent en garde à vue. Au tribunal de Perpignan, le procureur réclame « 6 mois de prison avec sursis ». « On ne peut pas assimiler une simple gifle à de la maltraitance. Sinon, il faudrait juger la moitié des parents du département », s’exclame l’avocate de la mère qui a été relaxée, n'ayant jamais fait l'objet de soupçons sur son enfant par le passé. "
Si tu es "basané*", tu risques de te trouver face à une analyse "culturelle" ou "cultuelle", ou les 2....qui te déclareras coupable d'avoir introduit "chez nous" ces pratiques barbares...
Je tiens à tenir à ta disposition la Juris Prudence, souvent "juris / imprudente", car il n'y a pas qu"aux USA que des citoyens, Sportifs de Haut niveau ou "LAMBDA" nous émeuvent en s'émouvant des certains pré-jugés (Cette fois / foi, le terme est bien choisi, même si ce "terme" ne marque pas la fin) et de traitements "différenciés".
Au fait, même à travers de la condamnation d'une mère qui a envoyé quelque argent à son fils parti combattre en SYRIE,
(je ne porterai pas de "Jugement" sur cette décision, ne connaissant pas le "dossier", qui, chacun le sait, est une partie du siège qui sert aux paresseux à se reposer),
je me demande, et, comme je ne trouve pas la réponse, je te demande si en partant en SYRIE pour combattre aux côtés des Forces KURDES je, tu, il, nous, etc..risquons quoi que ce soit.
Là, je n'ai trouvé aucune Jurisprudence !!!
Bref, "LA GIFLE" de Lino VENTURA (J'allais, à tord, citer Yves MONTAND !!!) a été très bénéfique à la carrière d'un charmante actrice....
Parfois, je confonds aussi GIFLE et BOUM, Isabelle ADJANI et Sophie MARCEAU....
C'est mon côté "Primaire-Autiste".
L'explosion, quoi, des "DROITS DE L'ENFANT", qui n'a pas fini de faire du bruit, de Résonner et Dé Raisonner....
Et là, ça "cloche".
*
Un samedi soir deux hommes d'origine mélanésienne ont eu leurs jambes écrasées par un 4/4 conduit par une homme d'origine européenne.
Tous trois probablement éméchés largement.
Le chauffeur/chauffard du 4/4 comparaît quelques jours après devant M. LANGLET, Président du Tribunal Correctionnel.
A propos des deux victimes, le Président se lâche, lâchement :
NDLR : L'épouse de ce Vice -Président du Tribunal de Première Instance de NOUMÉA tenait à cette époque sur le bas de la place des cocotiers une librairie spécialisée dans les publications du 3ème REICH et les chants nazis..
Ils est français...d' "origine "Maghrébine"...
Je relis à voix haute une partie du réquisitoire définitif relatif au témoignage d'un témoin qui, ayant vu les faits, le met hors de cause et dénonce deux jeunes garçons, qui seront par la suite poursuivis et condamnés, et démontre les mensonges du chauffeur de taxi "victime" qui avait largement menti....et ne sera jamais poursuivi :
_"QUANT AU TÉMOIGNAGE DE MME X. IL NE PEUT ETRE RETENU, S'AGISSANT D'UNE JUIVE VOISINE DES INCULPES".
Je rectifie aussitôt :
_"D'UNE ARMÉNIENNE..."
Pardon :
_"D'UNE ITALIENNE..."
Toutes les origines qui me passaient par la tête y ont eu droit, avant que je ne revienne plus sérieusement et avec une colère non feinte au texte réel :
NDLR : certaines "Audiences" nous donnent parfois la nausée d'y revenir.