LUNDI 30 NOVEMBRE 2020 : QUI ÉTAIT MONSIEUR PERRAULT DE BRESSAC ?
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La COUR D'ASSISES d'AIX EN PROVENCE OU L'AFFAIRE FUT JUGÉE
C'est mon nom !
Ca aurait pu être pire.
Mais chui pas un comte, et ma vie n'est pas un Conte.
Ou bien un "COMPTE DE FAITS"
Chui pas noir,
Chui pas blanc,
Mulâtre, on dit.
Moi j'me dis "BATARD".
Enfant illégitime et non reconnu d'un pseudo diplomate et d'une négresse.
Pour m'affirmer comme MOI, j'ai appris à me défendre.
Chui d'venu boxeur..
Fallait pas m'embêter ou me chercher noise.
Place des CARDEURS, il y a près de 50 ans, pour m'défendre j'ai cogné un mec de plus de 2 fois mon poids, qui en avait un p'tit dans l'crâne (P'tit pois, bien sûr)
J'ai demandé un baveux de service, gratos, et on m'a collé le p'tit ANGLADE.
Dès la reconstitution menée par Mamselle LLAURENS, mon témoin a confirmé la légitime défense.
Bon, j'ai été dehors presque illico presto..
Mais voilà que peu après mon "baveux" est convoqué par la juge susdite, com"quoi j'aurais étranglé mon propre témoin à décharge..
A ma décharge, lui aussi faisait du poids lourd, et j'me sentais menacé.
Séparément, y'aurait pas eu d'problème.
Mais BIS RÉPÉTITA, c'est une fois de trop.
Me voilà donc embastillé, un comble pour un noble.
La veille de la nouvelle "reconstitution", j'précise au baveux que le premier, j'l'avais cogné, il s'était frappé contre l'espagnolette de la fenêtre, j'croyais l'avoir tué et jétais allé moi-même chercher la police.
Mais, il y a un MAIS..
En fait, il était seulement assommé, et, pendant qu'j'allais chercher les pandores, mon pôte lui avait "fait sa fête", façon coups de pompes dans la gueule.
Mais quand j'ai su, j'ai rien dit ..
Y'aurait plus manqué qu'on soit poursuivis pour assassinat en réunion !!!!
Au cours de cette "seconde reconstitution", j'dis donc à la Françoise (MLLE LLAURENS) ;
"Mon avocat a un truc à vous dire".
Pas gonflé, l'baveux :
"A vous de dire ce que vous avez à dire".
J'm'exécute,
La "Françoise" nous fusille du regard, com'si on cherchait à l'embrouiller, et on repasse dans son bureau, à deux pas...
Et puis j'cause com' quoi y'a des traces de sang sur les grolles du "Témoin à décharge" devenu "Victime",
Et puis y'en a aussi sur son ceinturon..
Et puis les analyses le confirment.
Finalement me voilà "engatsé" pour deux "Coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner".
Malgré tous ses efforts, l'ptit ANGLADE n'a pas réussi à faire accepter devant la Cour d'Assises la légitime défense.
Des clous, pourtant, et j'en connais un rayon, sur les clous, car j'suis pas seulement boxeur..
J'suis Tapissier en vieux meubles.
Histoire de meubler le temps, en sortant, l'baveux m'a pistonné pour travailler chez GHAZARIAN....
Maintenant, j'chui retraité, et les quelques années de cabane ne comptent pas pour le régime spécial, ni pour la retraite des cadres..
Pourtant, sans la conjoncture de deux évènements malheureux, j'y aurais jamais été, en tôle.
Encadré, une fois...
Pas deux.
Y'a des jours, com'ça...
JJA.
Article 222-7 du Code Pénal :
"Les violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sont punies de quinze ans de réclusion criminelle."
CF
La Bipolarité paraît être de nos jours une maladie fréquente, et, en tout cas, reconnue officiellement, et fait l'objet de nombreuses études.
La responsabilité Pénale des Personnes Déficientes est régie par notre Code Pénal :
(Modifié par LOI n°2014-896 du 15 août 2014 - art. 17)
"N'est pas pénalement responsable la personne qui était atteinte, au moment des faits, d'un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes.
La personne qui était atteinte, au moment des faits, d'un trouble psychique ou neuropsychique ayant altéré son discernement ou entravé le contrôle de ses actes demeure punissable. Toutefois, la juridiction tient compte de cette circonstance lorsqu'elle détermine la peine et en fixe le régime. Si est encourue une peine privative de liberté, celle-ci est réduite du tiers ou, en cas de crime puni de la réclusion criminelle ou de la détention criminelle à perpétuité, est ramenée à trente ans. La juridiction peut toutefois, par une décision spécialement motivée en matière correctionnelle, décider de ne pas appliquer cette diminution de peine. Lorsque, après avis médical, la juridiction considère que la nature du trouble le justifie, elle s'assure que la peine prononcée permette que le condamné fasse l'objet de soins adaptés à son état."
Pour vous servir, et à votre service, notamment si vous êtes "Victime" de mensonges ou de mauvaise(s) plaisanterie(s) diffusé(e)(s) sur "LA TOILE" :
1 BD GÉNÉRAL DE GAULLE
Email :"anglade.mediateur@gmail.com"
Maître Sophie KUJUMGIAN ANGLADE, à votre écoute...
Maître Jean-Jacques ANGLADE, à votre service, une bière à la main, avant d'y être..en bière !!!
COROMA EN MAIN....
Médiateur souriant.